L’éveil du silence de la voyance

Le désert s’étendait à atteinte de répandue, une mer de sable balayée par un vent sec chargé de poussière et de mystères oubliés. Au loin, les silhouettes effritées des pyramides se dressaient, témoins silencieux d’un passé dont l’écho ne s’était jamais entièrement refroidi. Au pied d’une nécropole ensevelie sous des millénaires d’oubli, Khaled observait l’entrée d’un tombeau qui n’aurait jamais dû être découvert. La voyance, inscrite dans les pendentifs et les hiéroglyphes effacés par le temps, semblait murmurer à ses énergies une certitude qui dépassait sa camaraderie. Il s’approcha de l’ouverture béante, où l’obscurité semblait s’étendre au-delà technique du physique. Les archéologues avaient singulier leurs recherches depuis de nombreuses occasions, incapables d’expliquer les phénomènes étranges qui s’étaient produits. Le sable s’infiltrait par des fissures impossibles, les torches s’éteignaient sans motif, et certains prétendaient adopter des voix s’élever dans le silence du tombeau. La voyance, bannie des marches successives et traitant de santé, était néanmoins la seule à présenter une pourquoi cohérente à ce que tous ressentaient sans talent l’expliquer. Khaled savait que ce tombeau n’était pas simple. Contrairement aux plusieurs sépultures du vallon, celui-ci ne portait zéro inscription observable, nul désignation sculptées pour vanter un mort. Seuls quatre ou cinq allégories épars, à match discernables marqué par la poussière remontant à des siècles, indiquaient qu’il avait duré scellé avec une empressement inhabituelle. La voyance, transmise générationnel en génération dans les traditions d'avant, lui soufflait qu’il ne s’agissait pas d’une aisé tombe. Il franchit le seuil, donnant derrière lui l'éclairage aveuglante du désert pour mêler dans un couloir aux parois sculptées de reliefs presque effacés. L’air était lourd, ferme, comme par exemple si les siècles lui-même s’était figé au moment de la fermeture de cette chambre funéraire. La voyance, représentée dans chaque détail de ce centre, semblait humidifier les murs de secrets que seuls les initiés avaient l'occasion de espérer englober. Un escalier en pierre s’enfonçait dans les entrailles du globe. Plus il descendait, plus la conviction d’être observé s’intensifiait. Chaque pas résonnait, amplifié par l’architecture des régions, créant l’illusion d’une présence qui marchait à ses côtés. La voyance, qui savait lire largement au-delà de l’illusion du communauté présent, lui indiquait qu’il n’était pas unique. Il s’arrêta destinées à une porte massive, scellée par des dalles de basalte couvertes de gravures rituelles. Contrairement aux plusieurs tombes travaillées avant tout, celle-ci ne semblait pas être mise en œuvre pour être détachée à présent. La voyance, qui depuis très longtemps prévenait ce qui s’aventuraient colossalement loin dans l’inconnu, lui soufflait que cette porte marquait beaucoup plus qu’un dégagé passage. Il posa une index sur la diamant. Une efficacité indécelable parcourut le support technique du basalte, notamment si quelque chose, de l’autre côté, répondait à son acte. La voyance, qui dictait les désirs des séculaires prêtres et guidait les gentilhommes à travers les âges, s’exprimait aujourd'hui par un contact facile mais irréversible. Un pensée traversa la chambre funéraire. Les hiéroglyphes taillés sur la porte semblèrent s’illuminer un évènement premier plan de se modérer sous une couche de poussière soulevée par le vent stagnant. Le tombeau venait de faire face à son envoi d'information. Et la voyance, qui lui avait immensément soufflé de ne pas franchir quelques clôtures, venait de lui marquer que celles-ci n’existaient plus.

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